Leandro Montes Leon (Cuba) et Me Maroteaux s’exprimant au micro devant ses hôtes au cours de la soirée à qui Me Maroteaux présenta l’ouvrage édité en Espagnol réalisé à Cuba par sensei Montès
JUIN 2011
Une soirée mémorable pour tous ceux qui étaient présents. Ce n’est pas tous les jours qu’on fête un demi-siècle de pratique d’arts martiaux, exemple de pugnacité. Une passion devenue une vocation, puisque Me Maroteaux enseigne son art bénévolement à travers le monde, depuis toujours… contrairement à ce que certains croyaient ou faisaient croire. Le dîner de gala au Novotel affichait complet deux mois auparavant, avec les quelques
130 convives qui tenaient à participer à cet évènement. Certains parmi ses anciens élèves (entre 30 et 45 ans à ses côtés) sont intervenus, pour conter quelques anecdotes. Cette présence témoigne de la gratitude que chacun voue à cet homme hors du commun, atypique, qui a su montrer sa détermination à vivre ses arts martiaux en toute indépendance et gravir les échelons de la hiérarchie au plus haut niveau. Reconnu par ses pairs à travers le monde, pour ses travaux, sa philosophie du budo et sa technique incomparable, il a su faire des émules de haut niveau, en transmettant son art sérieusement, sans jamais se prendre au sérieux. Parmi les nombreux cadeaux qu’il reçut, la surprise fut de taille lorsqu’on lui offrit un magnifique tableau le représentant dans une expression de Iaïdo, de la part de tous ses élèves français. M.D.
Une œuvre picturale du célèbre peintre Russe Feodor Tamarsky : son portrait dans une expression de Iaïdo